Le film évoque les circonstances qui permirent aux troupes piémontaises d'entrer à Rome en 1870, et d'annexer la ville au Royaume d'Italie. Le film est découpé en 7 tableaux : Le général Carchidio envoyé pour parlementer au Pont Milvius. Le général Carchidio et le général Kanzler au ministère des Armées. L'aube du 20 septembre dans le camp des Bersaglieri. La dernière canonnade. L'assaut de la brèche. Le drapeau blanc. L'apothéose.

In this parody of 1903's "Great Train Robbery", also made by Edwin S. Porter, young bandits rob the passengers of a kiddie train and are chased by police officers.

Lors d'un colloque d'astronomie, le professeur Barbenfouillis propose à ses confrères d'organiser une expédition sur la Lune. Son idée est de s'y faire envoyer à l'aide d'un obus spatial qui sera propulsé au moyen d'un canon géant. Le lancement réussit et les six savants embarqués découvrent que la lune est habitée par une population locale, les Sélénites, et sont faits prisonniers.

Pendant la guerre de Sécession aux États-Unis, deux familles sont mises à l'épreuve : les Stoneman, favorables au Nord, et les Cameron, des sudistes. Le retour de la paix ne calme pas les esprits. Lincoln est assassiné. Les troubles naissent des politiciens véreux et des Noirs livrés à eux-mêmes. Par réaction se crée le Ku Klux Klan justicier et vengeur.

Pour empêcher un vol et sauver sa femme et ses enfants, un homme se précipite vers sa maison dans une course contre le temps.

Un chef dirige six choristes et deux musiciens devant une portée musicale constituée de cinq fils suspendus au-dessus des personnages. Le chef y accroche une clé de sol, puis des notes, qui sont sa propre tête, lancée et accrochée à la portée, puis qui lui repousse à chaque fois. Il y accroche ensuite des baguettes pour figurer celles des notes. Ensuite, le chœur se met en action sous sa direction en montrant des panneaux où figurent le nom des notes : ut, ut, ré, si, mi, etc. Le morceau terminé, les têtes s'envolent et disparaissent.

The portrait of a man and his attempts to make things up with life after losing his job.

Ben Stride (Randolph Scott), ancien shérif de Silver City, où sept hommes se sont enfuis avec un coffre rempli de butin, tuant au passage sa femme. Il les traque maintenant, un par un, ou deux par deux. En chemin, il rencontre le chariot en panne de John et Annie Greer (Gail Russell), en route pour la Californie...

Bruce Conner’s most celebrated film for a reason: it takes historical moments that were replayed over and over on television—chilling repetition of Kennedy assassination coverage—and repurposes them into a meditation on how the media tries to exert authority and apply a sense of order to the anarchic. And though it may sound perverse to say so, the film is also—not incidentally—a thrill to watch. -- The A.V. Club

Démobilisé à la fin de la guerre, un ex-officier Canadien retourne en France pour découvrir qui a ordonné l'assassinat d'un groupe de Résistants, y compris sa jeune femme. Il identifie le collaborateur de Vichy Marcel Jarnac, déclaré mort lui aussi. N'y croyant pas, il suit la piste jusque Buenos Aires où le nazisme ne semble pas mort non plus.

An early version of the classic, based more on the 1902 stage musical than on the original novel.

The physician's death orphans his two adolescent daughters. Their older brother is able to convert some of the doctor's small estate to cash. But it is late in the day, and with the banks closed he stores the money in his father's household safe. The slatternly housekeeper, aware of the money, enlists a criminal acquaintance to crack the safe. She attempts to get into the adjacent room where the sisters tremble in fear, but finds that the door is locked. The drunken housekeeper menaces them by brandishing a gun through a hole in the wall.

The Count sets out to make a private room for him and his Countess, built in such a way no one can see, hear, and most importantly, disturb them. But unbeknownst to the Count, his wife has set her eyes on the court minstrel. Based on Edgar Allan Poe's “The Cask of Amontillado” and Honoré de Balzac's “La Grande Breteche”.

La vie de Herb est au point mort. Ses droits au chômage ont expiré, il n’est pas fichu de garder un boulot, ne sait pas s’y prendre avec son fils et ne se nourrit que de bière bon marché et de purée de petits pois. Ce n’est pas une vie, et il s’en rend bien compte ! Quand il apprend au journal télé que, au Danemark, les détenus se la coulent douce, il fait ses valises et se rend clandestinement dans ce pays idyllique. Son paradis n’est plus qu’à un braquage de banque près...

Joni, 19 ans, doit effectuer son service civique au sein d'une maison de correction pour jeunes à problèmes. Quand on lui explique toutes les règles à respecter dans ce centre, à le voir écouter en silence, on sent tout de suite qu'il y a aussi quelque chose de relativement anormal en lui."Tu dois être un modèle pour ces jeunes, quelqu'un de stable" lui dit-on, mais un seul regard échangé avec Raisa, une fille de 17 ans aux cheveux décolorés et aux yeux fortement charbonneux, suffit pour qu'on comprenne qu'ensemble, ils vont enfreindre des règles.

Firefighters ring for help, and here comes the ladder cart; they hitch a horse to it. A second horse-drawn truck joins the first, and they head down the street to a house fire. Inside a man sleeps, he awakes amidst flames and throws himself back on the bed. In comes a firefighter, hosing down the blaze. He carries out the victim, down a ladder to safety. Other firefighters enter the house to save belongings, and out comes one with a baby. The saved man rejoices, but it's not over yet.

Assunta and Michele are in love, but others come between them and jealousy arises. Assunta Spina stands out as an early landmark of naturalistic acting and a blueprint for the Italian Neorealist films to come.

George Albert Smith's remake of Georges Méliès - Le Manoir du diable (The Haunted Castle) from 1896. This film is lost or never existed. Copies of it online are actually a Méliès film.

A cartoonist defies reality when he draws objects that become three-dimensional after he lifts them off his sketch pad.

A Middle-aged Japanese ex-pat journalist investigates child organ trafficking in Thailand and he uncovers a sinister network. In the darkest corners of Thailand, child prostitution and organ sales flourish. In order to save a child's life, another life must be taken. An outraged Japanese journalist and a passionate young Japanese NGO member attempt to save "children of the dark" from being consumed by arrogance and greed. However, the harsh realities of life intervene... Adapting Yan Sogil's book, which unflinchingly portrays the tragic realities unfolding today, filmmaker Junji Sakamoto directs a talented multinational cast to bring these stark events to life.