Dans la région de Vénétie des années quatre-vingt, Felice Maniero (Elio Germano) gère les activités de l'organisation criminelle qui a mis en place. Saisir les opportunités que la prospérité économique apporte dans le Nord, le Manoir est l'esprit criminel d'une économie souterraine qui se développe sur le trafic, braquages ​​de banques et véhicules blindés et des meurtres sanglants. Très attaché à sa mère (Katia Ricciarelli), un amoureux du luxe et de belles femmes, il devient rapidement l'homme le plus recherché de l'équipe du commissaire Ricci (Carmine Recano).

Expulsé par l'institution suisse qui s'occupait de lui à la fin de la Première Guerre mondiale, Antonio se retrouve en Italie contre sa volonté. Sans attache, vivant dans un grand dénuement, il s'accroche à sa raison de vivre, la peinture qu'il pratique en autodidacte. Peu à peu du public à la critique son "art" va bousculer l'académisme. Le destin incroyable et vrai d'Antonio Ligabue, l'un des maîtres de la peinture naïve aux côtés de Rousseau et Séraphine de Senlis.

Un soir, en sortant d'un hôtel, une escort-girl se fait trancher la gorge, en pleine rue. Sur les caméras de surveillance, la police remarque un homme fuyant la scène à bord d'une camionnette. Diana, escort elle aussi, s'est brûlée la cornée après avoir fixé une éclipse de soleil. Une nuit, la jeune femme se fait prendre en chasse par le tueur.

Un éboueur d'une trentaine d'années souffrant de problèmes mentaux dus aux violences physiques et psychologiques subies dans l'enfance par sa mère et ses compagnons, poussés à tuer par un personnage fictif qui « vit » dans la maison avec lui. Ses histoires sont entrelacées avec celles d'un jeune de treize ans issu d'une famille aisée, qui sauve de la noyade après une tentative de suicide, et d'une femme, connue sous le nom de "la mère", qui enquête de manière indépendante sur des épisodes de violence contre les femmes.

En 1858, dans le quartier juif de Bologne, les soldats du Pape font irruption chez la famille Mortara. Sur ordre du cardinal, ils sont venus prendre Edgardo, leur fils de sept ans. L’enfant aurait été baptisé en secret par sa nourrice étant bébé et la loi pontificale est indiscutable : il doit recevoir une éducation catholique.