La Felicita, le bonheur ne coûte rien
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Sergio arrive à l'âge des bilans, celui où l'on regarde sa vie, sa compagne, son fils et sa carrière avec un œil critique. Plus le temps de se mentir, c'est la dernière chance d'agir avant qu'il ne soit trop tard. Il étouffe dans sa vie, ne supporte plus ni l'hypocrisie qu'il pratique, ni celle qu'il subit ; il se sent écrasé par le matérialisme, l'argent, son métier d'architecte. Un accident va lui donner l'occasion de tout remettre en cause.