Keiko Tako vit sur une petite ile au large de Tosa avec sa sœur et sa mère. Cette dernière, trop naïve, s’est fait voler les économies de la famille, et elles n’ont plus assez pour payer la concession funéraire de leur illustre ancêtre chasseur de pieuvre. Keiko part pour Tokyo pour gagner de l’argent dans un soapland, puis à Toi Onsen sur la presqu'île d'Izu, en tant que Onsen Geisha.

Troisième volet de la série de films consacrés au légendaire samouraï Miyamoto Musashi, réalisés par Tomu Uchida

Un jeune samouraï, Shojuro Sako, voyage sur la route d'Edo en compagnie de ses deux serviteurs, Genta et Gonpachi. Mais la route est dangereuse et les trois hommes vont devoir faire preuve de bravoure pour arriver à leur destination.

Kawada est un yakuza dont la tête est mise à prix par le chef d'un clan de la région d'Hokuriku. Ce dernier fait appel aux autres clans pour le liquider, mais c'est sans compter sur Kawada, bien décidé à se venger par tous les moyens.

La guerre est déclarée entre les clans d'Hiroshima et de Kobe. La violence urbaine s'intensifie provoquant une réaction des citoyens et de la police.

Un policier réalise qu'il a plus d'affinités avec les hommes du gang qu'il pourchasse qu'avec ses supérieurs hiérarchiques dont il déteste l'hypocrisie.

Quatrième volet de la série de films consacrés au légendaire samouraï Miyamoto Musashi réalisés par Tomu Uchida

Avant de mourir, un des lieutenants de oryu lui avoue avoir du se battre pour protéger son honneur de femme.Oryu vient de reformer le clan Yano, mais sa quète initiatique a la recherche de la voie d'exemplarité n'est pas achevée. Hébergée par un ancien yakuza rentré dans le rang, oryu décide de l'aider a défendre les métayers, étranglés par leurs propriétaires terriens, eux mèmes ranconnés par des yakuzas en quète des fonds nécessaires à l’organisation d'un grand tournoi de cartes. Tournoi auquel la pivoine rouge a bien l'intention de participer... Episode le plus impur de la série lady yakuza, ce cinquième volet est signé par l'auteur du premier. On y retrouve les préocupations sociales et féministes des précédents, agrémentées d'outrances mélo et d'incursions pop dans le film de gangster...

Dans le monde des yakuzas, le clan de Masa Kiba ne cesse de se battre avec le nouveau clan d'Unso Okiyama. Kiba lance une attaque avec l'aide de Chokichi, mais le vil Okiyama est sur le point d'écraser Kiba en manipulant la police et des politiciens.

Lors d’une chasse au cerf, un haut dignitaire royal venant d’Edo, tue d’une flèche dans le dos un fermier trop lent à s’écarter de son chemin. Puis il blesse grièvement d’une flèche dans l’œil le daimyo local (seigneur du fief) venu protester contre la première agression. La rudesse et la cruauté du tyran va susciter la haine chez certains membres du clan, qui vont s’organiser pour le piéger et le tuer. Son fidèle serviteur, commandant des troupes, va se battre jusqu’au bout pour défendre ce chef qu’il juge pourtant bien inhumain.

Bien que peu courageux, un samouraï en manque de réussite sociale décide de s’enrôler dans le Shinsengumi, le légendaire corps franc patriotique et loyaliste de la fin du régime des Tokugawa. Il y découvre des conditions inhumaines.

Un dernier volet commençant à la fin des années 60 pour s'achever au début des années 70, soit à une époque contemporaine de sa sortie. Face à la police, les yakuzas vont tenter de s'unifier et de trouver une vitrine légale. Peine Perdue.