Le film parle de "non linéaires finis", des robots qui ressemblent beaucoup aux êtres humains mais qui sont encore plus parfaits que les humains. Ils sont destinés à remplacer à terme les êtres humains dans les vols spatiaux. Quelque peu inquiètes quant à leur utilité, les Nations Unies mettent en place un vol spatial pour déterminer leurs réactions face aux êtres humains qui composent également l'équipage.

Un jeune couple s'aime. Le garçon dispose d'un travail sûr qui lui convient mais finit par devenir un petit voleur qui ne peut plus payer ses dettes et décide de voler des maisons où il rend visite à des femmes au foyer solitaires. La fille travaille comme infirmière mais est trop sensible dans les cas extrêmes. Parallèlement à leur histoire, on trouve une métaphore d'un laissez-pour-compte dans une casse, qui s'efforce par tous les moyens de se débarrasser du chien qui s'attache à lui. À la fin, il attache des bâtons de dynamite au chien, mais ils se détachent et l'explosion les tue tous les deux.

Liza subit un choc, quand, lors d’une croisière en compagnie de son mari, elle croit reconnaître parmi les passagers une jeune femme, Marta, ex-détenue du camp d’Auschwitz où elle était surveillante SS. Liza, dont le mari ignore cette partie de sa vie, se souvient de son passé terrifiant. Ce sont d’abord des fragments en vrac qu’elle arrange afin de construire un récit à l’intention de son mari, et dans le but de se justifier, mais peu à peu la véritable histoire se reconstitue.

En 1950, la nuit, un train de voyageurs tue un homme sur la voie. Il s’agit d’Orzechowski, ingénieur depuis 1914. Une enquête suit immédiatement. Le témoignage prend la forme de flash-back. Tuszka, le chef de la station, croit Orzechowski était un saboteur...