Dans une petite ville polonaise sans histoire, une adolescente est retrouvée morte dans la forêt. Les premiers éléments indiquent un suicide mais l'autopsie révèle rapidement qu'elle a été tuée et qu'elle était enceinte. Pawel Zawadzki, prof de polonais fraîchement arrivé dans le lycée fréquentée par la victime, décide de mener une enquête officieuse. Il se trouve qu'il connaissait la jeune fille...

Alexander Bukow est un flic qui n'hésite pas à travailler au bord de la loi pour obtenir des résultats. Sa partenaire, Katrin Koenig, est une maniaque du contrôle dont la vie est le métier. Ensemble, ils forment une excellente équipe de lutte contre le crime - quand ils ne se battent pas entre eux.

Une jeune fille est assassinée près d'Opole. Des mutilations corporelles terrifiantes et des marques laissées sur place indiquent un meurtre rituel. La question est traitée par la commissaire Agnieszka Polkowska. En raison de l'extraordinaire cruauté du crime et de la suspicion que l'auteur pourrait être un tueur en série, l'affaire s'intéresse au siège provincial. Polkowska, à son grand mécontentement, est affectée à l'enquête sur le commissaire Tomasz Mrówiec. A cette époque, Piotr Wolnicki, enseigne les études religieuses à l'université d'Opole. Il travaille et vit en permanence avec sa famille dans une belle maison. Déjà à la rentrée, l'homme choisit son humble et intelligente élève Ewa Banach comme favorite. La jeune fille ne sait pas que son conférencier cache un sombre secret.

Les dix commandements vus par Krzysztof Kieslowski : Un seul Dieu tu adoreras, Tu ne commettras point de parjure, Tu respecteras le jour du Seigneur, Tu honoreras ton père et ta mère, Tu ne tueras point, Tu ne seras pas luxurieux, Tu ne voleras pas, Tu ne mentiras pas, Tu ne convoiteras pas la femme d'autrui, Tu ne convoiteras pas les biens d'autrui.

Des spectateurs évoquent des souvenirs de représentations auxquelles il a assisté dans la Cour d’honneur du Palais des papes, lors des précédentes éditions du Festival d’Avignon. Chacun convoque la mémoire de son expérience, bonne ou mauvaise. Cette parole, critique et subversive, Jérôme Bel l’a convoquée pour répondre à cette question : au-delà des interrogations abstraites sur l’importance de l’art et de la culture, "qu’est-ce que l’art produit sur les gens dont l’art n’est pas le métier ? Qu’est-ce que le théâtre produit dans la vie des gens qui agissent dans un autre champ professionnel ? Quelles sont les conséquences des spectacles sur les spectateurs, en bien ou en mal ?"