Niko, Berlinois presque trentenaire, éternel étudiant et rêveur incorrigible, s’apprête à vivre les vingt-quatre heures les plus tumultueuses de son existence : sa copine se lasse de ses indécisions, son père lui coupe les vivres et un psychologue le déclare « émotionnellement instable ». Si seulement Niko pouvait se réconforter avec une bonne tasse de café ! Mais là encore, le sort s'acharne contre lui...

Lors du cambriolage d’un restaurant gastronomique, la situation tourne mal conduisant aux décès du propriétaire Ingo Wiek et de Jens Kampwirth un petit délinquant. Les traces sur les lieux indiquent que le jeune homme avait un complice. Ellen Norgaard entame l'enquête qui fait émerger des liens inattendus entre Kampwirth et Wiek. Elle découvre aussi que tout ce qui se passe sur l’île n’échappe pas à l’oeil aiguisé de Karin Lossow.

Comme tous les autres matins, Lara débute sa journée par une cigarette et une tasse de thé. Aujourd'hui est un jour important : elle a 60 ans et c'est le premier concert de piano donné par son fils Viktor. Elle le soutient depuis ses débuts et se considère comme déterminante dans son succès. Mais Viktor est injoignable depuis des semaines et Lara semble ne pas être conviée à l'événement, contrairement à son ex-mari et sa nouvelle compagne. La journée va alors prendre un tour inattendu.

Rapide, sans pitié et avec beaucoup d'humour noir, Gasmann suit un homme à la recherche de son âme intérieure.

Dimitrij Liebermann, un juif de 18 ans, a frappé Tobi. On lui demande de présenter des excuses, mais il n'en est pas vraiment désolé. Il se met en route pour aller voir Tobi. Sur son chemin, il croise des personnes représentatives de la société allemande et se rend compte d'un problème récurrent : son identité germano-juive.