Princess Hours
10/2
Ce drama est un remake du drama coréen Goong diffusé sur MBC en 2006.
Khaning, une étudiante normale issue d'une famille banale, apprend tout d'un coup qu'elle est au centre d'une promesse que son grand-père, un ancien garde de la famille royale et l'ancien roi du royaume de Puthi, le roi Inth, se sont faite pour honorer leur amitié. Une promesse qui la lie par le mariage au prince héritier du royaume. Elle va alors quitter sa famille, abandonner ses rêves et sa vie d'adolescente pour vivre entre les murs d'un palais qui n'est que règles et restrictions.
Khaning va alors tenter de vivre dans le palais en gardant le sourire et en essayant tant bien que mal de se préparer à devenir une princesse, malgré le dédain du prince Inn qui pense qu'elle l'a épousé pour de l'argent. Mais grâce à son originalité et à sa gaieté, elle va vite transformer le palais en un lieu joyeux et va susciter l'admiration des autres habitants du palais, en particulier celle de la reine mère, la grand-mère du Prince. L'affection entre elle et le prince va ainsi grandir peu à peu.
Et alors que tout semble enfin réglé, une tempête arrive. Le premier amour du prince, Minnie, pleine de confiance et de beauté, que le prince avait dans un premier temps demandé en mariage, refait surface. Sans oublier Khunying Krisana, la femme de l'ancien prince héritier mort dans un accident, qui revient au palais pour tenter de reprendre ce qui lui est dû, ou encore son fils, le prince Nakhun, qui commence à développer des sentiments pour Khaning.
Khaning essaye alors de faire taire son cœur en se persuadant que Minnie mérite le prince plus qu'elle, mais il lui devient difficile de résister aux sentiments qu'elle commence à ressentir pour celui-ci. Le prince, lui, est déjà amoureux de Khaning, mais cette histoire d'amour peut difficilement se finir sur une note joyeuse alors qu'elle se transforme doucement en un jeu de pouvoir, un triangle amoureux, ainsi qu'une lutte entre le devoir, le pouvoir et l'amour.
Le Prince Inn et Khaning auront-ils le droit à leur "fin heureuse" ?
