Sept ans après le début de la crise de la dette grecque, les plus jeunes sont touchés et la famille est ébranlée. Les indemnités de chômage versées par l'Etat étant limitées à un an, de nombreux parents, confrontés à la pauvreté, ne peuvent plus subvenir aux besoins de leurs enfants. Mères athéniennes, Rania Theodoraki et Viktoria Bublienko ont dû placer les leurs dans un orphelinat.